Une pintade chaponnée fermière coûte entre 22 et 35 euros le kilo en vente directe, soit 80 à 150 euros pour une pièce complète de 3 à 4,5 kg selon la qualité et le circuit de distribution, ce qui en fait une volaille festive haut de gamme qui rivalise avec les meilleures productions avicoles ! Après quinze années à élever mes propres volailles en Auvergne et à observer attentivement les marchés qui structurent les prix agricoles qui fluctuent considérablement selon les saisons, je peux vous dire que ce tarif élevé se justifie amplement par un élevage long et délicat qui nécessite une expertise spécifique rare.
Ma première rencontre avec une pintade chaponnée remonte à 2015 quand mon voisin Bernard m’avait fait goûter cette volaille extraordinaire qui fondait littéralement en bouche qui n’avait strictement rien à voir avec les pintades standard que je connaissais. Claire était restée bouche bée devant cette tendreté exceptionnelle qui surpassait même nos meilleurs poulets fermiers qui impressionnaient pourtant déjà nos invités régulièrement ! Cette découverte m’a obligé à comprendre pourquoi certaines volailles subissent ce traitement particulier qui transforme radicalement leur chair qui justifie des prix qui paraissent astronomiques aux non-initiés.
D’ailleurs, cette réflexion sur les prix des volailles festives rejoint celle que j’applique pour valoriser justement toutes mes productions qui méritent rémunération proportionnée au travail considérable investi quotidiennement patiemment. Cette connaissance des pintades chaponnées complète parfaitement mon parcours d’éleveur qui comprend progressivement que certaines productions ultra-spécialisées nécessitent une maîtrise qui se transmet qui se perfectionne qui justifie pleinement des tarifs qui reflètent cette excellence rare.

Les fourchettes de prix selon les circuits
Cette variation impressionne considérablement ! Mon expérience révèle que le prix fluctue spectaculairement selon où vous achetez et à quelle période de l’année vous vous approvisionnez stratégiquement.
La vente directe à la ferme propose généralement les tarifs les plus avantageux qui oscillent entre 22 et 28 euros le kilo pour une pintade chaponnée de qualité supérieure exceptionnelle. Ce circuit court élimine tous les intermédiaires qui captent habituellement une partie substantielle de la valeur ajoutée totale créée laborieusement. Bernard élève occasionnellement ces volailles qui pratique 25 euros le kilo qui rémunère correctement son travail méticuleux sans enrichir excessivement. Cette proximité géographique permet d’acheter directement qui garantit fraîcheur et traçabilité qui rassurent légitimement les consommateurs exigeants soucieux.
Les marchés spécialisés de Noël affichent généralement 28 à 35 euros le kilo qui incluent les frais de déplacement et de commercialisation supplémentaires nécessaires. Cette majoration compense le temps passé qui mobilise l’éleveur qui ne peut pas simultanément travailler à la ferme productrice. Claire fréquente régulièrement le marché de Riom en décembre qui propose systématiquement deux ou trois producteurs qui se concurrencent qualitativement sainement. Cette rareté commerciale témoigne de la confidentialité de cette production qui reste ultra-spécialisée qui ne se démocratise jamais vraiment.
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Les boucheries haut de gamme facturent 30 à 38 euros le kilo qui reflètent leur expertise de sélection qui choisissent rigoureusement qui préparent impeccablement professionnellement. Ces professionnels achètent directement chez les meilleurs éleveurs puis affinent quelques jours qui développent encore les qualités organoleptiques recherchées exceptionnelles. Mon beau-père commande systématiquement chez son boucher lyonnais qui sélectionne exigeant qui conseille expertement qui prépare magistralement impeccablement. Cette valeur ajoutée artisanale justifie la différence qui transforme un excellent produit en produit d’exception absolu qui mérite reconnaissance financière légitime.
Les grandes surfaces proposent très rarement cette spécialité qui reste confidentielle qui ne justifie pas la logistique qui décourage commercialement. Cette quasi-absence confirme le caractère élitiste qui préserve paradoxalement l’authenticité qui maintient les circuits courts qui protège. Claire ne cherche même plus qui privilégie systématiquement les producteurs locaux qui garantissent qui tracent qui personnalisent. Cette exclusivité structurelle filtre naturellement qui réserve cette volaille aux véritables amateurs qui recherchent qui apprécient qui valorisent dignement.
Ces variations tarifaires transforment l’achat en quête qui nécessite anticipation qui récompense l’organisation qui célèbre exceptionnellement dignement.

Ma découverte chez Bernard en 2015
Cette révélation reste gravée ! Mon parcours révèle comment la dégustation d’une volaille exceptionnelle bouleverse toutes les références établies qui structurent nos certitudes culinaires.
Mon invitation inattendue chez Bernard pour un déjeuner dominical cachait une surprise gastronomique qui transformerait durablement ma compréhension avicole. Ce voisin éleveur expérimenté annonçait mystérieusement qu’il nous ferait découvrir quelque chose d’exceptionnel qui dépasserait tout ce que nous connaissions. Claire me regardait avec des yeux interrogateurs qui questionnait qui anticipait qui s’inquiétait légèrement de cette promesse audacieuse. Cette invitation intrigante mobilisait notre curiosité qui préparait mentalement qui se demandait ce qui pouvait bien surpasser nos meilleurs poulets fermiers.
La présentation solennelle révélait une volaille magnifique qui dorée parfaitement qui embaumait délicieusement toute la pièce chaleureusement. Cette pintade imposante pesait 4,2 kg qui trônait majestueusement sur le plat qui promettait effectivement quelque chose d’inhabituel. Les enfants observaient fascinés cette pièce impressionnante qui ressemblait extérieurement à une grosse pintade ordinaire. Cette théâtralité culinaire préparait psychologiquement qui anticipait qui construisait cette tension qui culminerait lors de la dégustation finale.
La première bouchée révélait une texture qui fondait littéralement qui libérait des saveurs qui dépassaient spectaculairement tout ce que j’avais connu. Cette chair incroyablement tendre contrastait radicalement avec la pintade standard qui reste souvent un peu sèche qui nécessite sauce généreuse. Claire fermait les yeux qui savourait silencieusement qui reconnaissait humblement que cette volaille surpassait effectivement nos productions habituelles. Cette révélation gustative validait définitivement qu’un traitement spécifique transformait complètement une volaille qui justifiait amplement un prix qui ne paraissait plus du tout excessif.
L’explication technique de Bernard détaillait patiemment le chaponnage qui transformait qui bonifiait qui sublimait cette pintade ordinaire. Ce processus ancestral castrait chimiquement qui modifiait le métabolisme qui développait cette chair persillée exceptionnelle recherchée. Les enfants écoutaient attentivement qui comprenaient progressivement que l’excellence nécessitait intervention qui demandait expertise qui justifiait valorisation. Cette transmission fraternelle éduquait qui sensibilisait qui structurait notre compréhension qui enrichissait notre culture gastronomique familiale.
Cette expérience fondatrice transforme une simple invitation en prise de conscience qui influence encore aujourd’hui mes propres pratiques d’élevage.

Qu’est-ce qu’une pintade chaponnée exactement ?
Cette spécificité reste mal connue ! Mon observation révèle que beaucoup de consommateurs ignorent complètement ce traitement qui transforme radicalement la volaille.
Voici les caractéristiques distinctives principales :
- Castration chimique : injection hormonale qui neutralise la reproduction qui modifie métabolisme
- Durée d’élevage doublée : 20-24 semaines minimum contre 10-12 pour pintade standard
- Poids impressionnant : 3 à 4,5 kg contre 1,8-2,5 kg pour pintade classique
- Finition à l’obscurité : dernières semaines en épinette sombre qui affine texture
- Gavage laitier : alimentation enrichie céréales nobles et produits laitiers généreux
- Chair persillée : graisse intramusculaire qui fond qui attendrit qui parfume délicieusement
- Texture fondante : tendreté exceptionnelle qui se découpe facilement qui fond littéralement
- Production ultra-confidentielle : quelques centaines d’éleveurs seulement en France
Le processus de chaponnage intervient vers 8-10 semaines qui neutralise chimiquement la fonction reproductrice qui réoriente l’énergie vers la croissance. Cette intervention délicate nécessite expertise vétérinaire qui surveille qui contrôle qui vérifie scrupuleusement régulièrement. Bernard travaille avec un vétérinaire spécialisé qui maîtrise parfaitement qui dose précisément qui garantit la réussite. Cette technicité médicale filtre naturellement qui réserve aux éleveurs motivés qui investissent qui perfectionnent continuellement progressivement.
La durée d’élevage doublée immobilise le capital qui ne se rentabilise que tardivement qui multiplie les risques sanitaires considérablement. Cette patience obligatoire coûte quotidiennement en alimentation enrichie, surveillance renforcée, chauffage maîtrisé qui s’accumulent inexorablement pendant 5-6 mois. Mon calcul rapide estimait qu’une pintade chaponnée consomme 15-18 kg d’aliment premium contre 6-8 kg pour une standard qui expliquait mathématiquement. Cette équation implacable imposait nécessairement des prix minimums qui couvriraient ces coûts qui permettraient de vivre dignement de ce métier ultra-spécialisé exigeant.
La finition à l’obscurité reprend la technique traditionnelle du chapon qui transforme littéralement la chair qui développe cette tendreté légendaire. Cette étape ancestrale enferme les volailles dans des cages obscures qui limitent les mouvements qui engraissent qui affinent miraculeusement. Bernard respecte scrupuleusement cette tradition qui transmet fidèlement qui perpétue authentiquement qui garantit. Cette rigueur traditionnelle structure l’identité qui certifie la qualité qui justifie amplement la réputation qui commande ces prix élevés. D’ailleurs, cette expertise en volailles festives rejoint celle que je développe pour toutes mes productions avicoles d’exception qui nécessitent également attention particulière spécifique méticuleuse.
Ces spécificités fondamentales transforment la pintade chaponnée en volaille d’exception qui mérite pleinement son statut qui justifie son prix.

Les facteurs qui justifient ce prix élevé
Cette valeur s’explique rationnellement ! Mon expérience révèle que plusieurs éléments convergent qui légitiment amplement un tarif qui paraît initialement prohibitif excessif.
Le coût vétérinaire du chaponnage ajoute 8-12 euros par volaille qui représente un poste incompressible qui pèse substantiellement. Cette intervention médicale spécialisée nécessite produits homologués, expertise professionnelle, suivi rigoureux qui facturent légitimement. Bernard dépense environ 10 euros par pintade qui amortit sur le prix final qui structure fondamentalement. Cette composante vétérinaire unique différencie radicalement qui spécialise qui justifie partiellement l’écart qui sépare du standard.
La consommation alimentaire colossale représente le poste le plus lourd qui dévore littéralement le budget d’élevage progressivement inexorablement. Cette voracité prolongée nécessite 15-20 kg d’aliment enrichi qui coûte 0,50 à 0,90 euros le kilo selon la qualité. Mon estimation rapide calculait donc 8 à 18 euros uniquement en alimentation qui structurait fondamentalement l’économie globale. Cette réalité mathématique imposait mécaniquement des tarifs qui couvriraient minimalement qui rémunéreraient décemment qui pérenniseraient l’activité viable.
La main d’œuvre quotidienne mobilise du temps qui surveille qui soigne qui nourrit qui nettoie méticuleusement régulièrement. Cette attention constante contraste avec les élevages automatisés qui minimisent qui standardisent qui industrialisent massivement. Bernard estime 20-25 minutes quotidiennes par pintade chaponnée qui cumule qui totalise qui représente considérablement. Cette intensité humaine valorise le travail qui humanise qui différencie radicalement qui justifie amplement la surprime demandée légitimement.
Le taux de mortalité accru touche ces volailles fragilisées qui nécessitent vigilance qui génèrent pertes qui impactent directement. Cette vulnérabilité résultant du traitement hormonal expose davantage aux maladies qui stressent qui compromettent régulièrement. Bernard perd systématiquement 15-20% de ses effectifs qui amortit sur les survivants qui augmente mécaniquement unitairement. Cette mortalité incompressible alourdissait les coûts qui se répercutaient inévitablement qui se facturaient finalement aux consommateurs qui payaient collectivement.
Ces contraintes cumulées transforment l’élevage de pintades chaponnées en défi économique qui nécessite prix élevé pour simplement équilibrer viablement.

La comparaison avec les autres volailles festives
Cette mise en perspective éclaire ! Mon observation révèle que ces volailles d’exception se positionnent différemment qui offrent des alternatives qui satisfont diversement.
Le chapon domine hiérarchiquement qui culmine gastronomiquement qui atteint 25-40 euros le kilo qui surpasse même la pintade chaponnée prestigieuse. Cette volaille castration masculine nécessite gavage intensif qui développe cette chair persillée exceptionnelle qui fond littéralement sublimement. Mon beau-père commande systématiquement un chapon qui investit 150-180 euros qui célèbre solennellement qui sacralise véritablement. Cette aristocratie avicole structure symboliquement qui hiérarchise culturellement qui valorise suprêmement qui couronne gastronomiquement l’excellence festive absolue.
La poularde se positionne légèrement au-dessus qui propose 18-30 euros le kilo qui offre une alternative qui rivalise honorablement. Cette jeune poule engraissée propose une excellente qualité qui reste néanmoins différente qui satisfait largement néanmoins. Claire apprécie particulièrement qui maîtrise qui assume qui alterne intelligemment selon les années qui varie. Cette diversité festive enrichit qui personnalise qui évite la monotonie qui structure agréablement nos célébrations annuelles répétées.
La pintade standard coûte 8-12 euros le kilo qui démocratise qui rend accessible qui permet régulièrement sans ruiner. Cette version classique offre déjà une qualité correcte qui surpasse largement les poulets industriels qui satisfait honorablement. Bernard élève principalement cette catégorie qui vend facilement qui rentabilise correctement qui structure économiquement. Cette alternative raisonnable démocratise l’accès qui permet même aux budgets modestes de fêter dignement qui inclut plutôt qu’elle n’exclut.
La dinde fermière propose 10-18 euros le kilo qui offre volume qui nourrit généreusement qui convient aux grandes tablées. Cette volaille imposante rassemble qui partage qui célèbre collectivement qui économise proportionnellement au nombre de convives. Mon voisin élève principalement des dindes fermières qui écoule facilement qui satisfait largement qui rentabilise honorablement correctement. Cette option volumineuse structure différemment qui adapte qui personnalise selon la taille des assemblées qui se réunissent.
Cette comparaison nuancée transforme le choix en stratégie qui optimise selon les priorités qui équilibre les contraintes qui satisfait diversement.
Où trouver cette volaille rare ?
Cette quête nécessite anticipation ! Mon expérience révèle que se procurer une pintade chaponnée demande organisation qui récompense néanmoins généreusement l’effort consenti.
Les éleveurs spécialisés constituent évidemment la source privilégiée qui garantit authenticité et qualité qui justifie amplement le déplacement nécessaire. Cette rareté structurelle limite drastiquement l’offre qui concentre géographiquement qui nécessite recherche active préalable. Bernard connaît trois confrères auvergnats qui produisent qui vendent directement qui satisfont dignement exigeamment. Cette confidentialité professionnelle crée une communauté restreinte qui se connaît qui s’entraide qui partage généreusement les savoir-faire ancestraux.
Les marchés de Noël spécialisés proposent occasionnellement cette spécialité qui s’écoule rapidement auprès des connaisseurs locaux fidèles. Cette distribution éphémère concentre sur quelques semaines qui nécessite réservation anticipée qui sécurise la disponibilité totalement. Claire commande systématiquement mi-novembre qui garantit qui tranquillise qui planifie sereinement les festivités annuelles. Cette discipline temporelle prévient les déceptions qui structure intelligemment qui anticipe qui récompense l’organisation prévoyante méthodique.
Les boucheries haut de gamme référencent parfois sur commande qui contactent leurs fournisseurs qui organisent qui satisfont exigeamment. Cette intermédiation professionnelle facilite qui sécurise qui garantit qui rassure totalement les clients urbains éloignés. Mon beau-père privilégie cette solution qui simplifie qui délègue qui fait confiance à son artisan habituel. Cette médiation artisanale valorise qui conseille qui prépare qui transforme l’achat en service qui enrichit humainement.
Les sites internet spécialisés livrent désormais partout qui démocratisent géographiquement qui facilitent considérablement l’accès national. Cette modernisation commerciale permet même aux isolés de commander qui reçoivent impeccablement qui conservent correctement fraîchement. Claire teste occasionnellement qui compare qui évalue qui sélectionne rigoureusement les plateformes fiables. Cette digitalisation prudente élargit qui connecte qui rapproche qui facilite tout en nécessitant vigilance qui vérifie qui authentifie soigneusement.
Cette rareté assumée transforme l’achat en quête qui valorise qui sacralise qui ritualise l’acquisition de cette volaille d’exception.
Les erreurs qui gâchent votre investissement
Ces fautes compromettent dramatiquement ! Mon observation révèle que plusieurs négligences sabotent complètement un produit exceptionnel qui méritait infiniment mieux attentivement.
La cuisson excessive dessèche irrémédiablement qui transforme la tendreté en sécheresse qui ruine qui massacre définitivement tragiquement. Cette erreur fréquente résulte de la peur sanitaire qui sur-cuit systématiquement qui détruit qui gâche complètement criminellement. Bernard insiste absolument sur le thermomètre qui garantit 75°C à cœur qui suffit amplement qui préserve miraculeusement. Cette précision technique conditionne directement le résultat qui récompense ou déçoit selon le respect qui honore ou sabote.
L’achat trop précoce nécessite congélation qui altère irréversiblement la texture qui cristallise qui dégrade qui déçoit systématiquement. Cette anticipation excessive sacrifie précisément ce qui justifiait l’investissement initial conséquent qui gaspille qui frustre bêtement. Claire refuse catégoriquement qui achète 2-3 jours avant qui consomme rapidement qui préserve intégralement totalement. Cette discipline temporelle maximise qui révèle pleinement qui honore dignement qui respecte absolument le produit exceptionnel.
La cuisson directe sans repos préalable contracte qui durcit qui assèche qui compromet qui dégrade substantiellement regrettablement. Cette impatience gaspille les heures de maturation qui auraient attendri qui auraient bonifié qui auraient sublimé magnifiquement. Mon beau-père sort systématiquement 2-3 heures avant qui tempère qui détend qui optimise qui magnifie finalement magistralement. Cette patience culinaire récompense généreusement qui transforme radicalement qui élève spectaculairement le résultat final obtenu dignement.
Les farces lourdes masquent les arômes délicats qui étouffent qui dénaturent qui gaspillent qui insultent presque criminellement. Cette tradition classique convient aux volailles ordinaires qui nécessitent effectivement camouflage qui compensent leurs carences manifestes évidentes. Claire prépare minimaliste qui laisse s’exprimer qui accompagne discrètement qui sublime respectueusement dignement sobrement. Cette sobriété culinaire révèle qui magnifie qui célèbre qui transforme le repas en communion qui médite presque religieusement.
Ces erreurs évitées préservent l’investissement qui respecte le travail qui honore dignement cette volaille exceptionnelle qui mérite absolument mieux.
Mes conseils de préparation optimale
Cette technique sublime magnifiquement ! Mon expérience révèle que quelques règles simples maximisent l’expression qui révèle pleinement toute la qualité exceptionnelle.
La cuisson basse température préserve miraculeusement cette tendreté qui caractérise qui distingue qui justifie fondamentalement l’investissement consenti. Cette méthode douce à 150°C pendant 2h30-3h transforme qui magnifie qui sublime qui révèle pleinement. Bernard pratique systématiquement qui contrôle qui surveille qui garantit cette perfection culinaire absolue. Cette discipline thermique conditionne qui structure qui détermine largement le succès final qui récompense qui impressionne dignement.
L’arrosage régulier maintient l’humidité superficielle qui dore progressivement qui caramélise délicieusement qui croustille magnifiquement. Cette attention continue mobilise toutes les 20 minutes qui beurre qui parfume qui enrichit continuellement progressivement. Claire organise qui anticipe qui prépare le beurre aromatisé qui optimise qui bonifie systématiquement. Cette vigilance culinaire structure qui rythme qui transforme la cuisson en rituel qui sacralise qui célèbre dignement.
Le repos obligatoire de 20-30 minutes redistribue les jus qui détend qui stabilise qui optimise la découpe finale. Cette patience ultime évite que les jus ne s’échappent qui gaspilleraient qui assècheraient qui décevrait cruellement. Mon beau-père couvre qui maintient tiède qui respecte scrupuleusement qui garantit cette perfection finale. Cette discipline terminale couronne qui parachève qui finalise qui transforme en chef-d’œuvre qui impressionne qui mémorise durablement.
L’accompagnement sobre privilégie les produits nobles qui respectent qui valorisent qui subliment sans dominer jamais. Cette sobriété réfléchie propose légumes racines rôtis, pommes de terre grenailles, champignons forestiers qui complètent harmonieusement. Claire compose qui équilibre qui structure qui présente élégamment qui impressionne visuellement. Cette cohérence gastronomique transforme le plat en expérience qui célèbre qui honore qui sacralise véritablement cette volaille exceptionnelle. D’ailleurs, cette philosophie culinaire rejoint celle que j’applique pour valoriser mes fromages frais en cuisine qui nécessitent également respect et délicatesse.
Ces techniques maîtrisées transforment une excellente volaille en expérience gastronomique qui marque qui impressionne qui mémorise durablement dignement.
Mon avis personnel après ces années
Cette réflexion mûrit progressivement ! Mon expérience révèle que cette volaille ultra-spécialisée mérite pleinement sa réputation qui justifie l’investissement qui récompense généreusement.
Ma position d’éleveur me rend évidemment sensible aux conditions économiques qui permettent ou non de vivre dignement de ces productions ultra-spécialisées exigeantes. Cette empathie professionnelle comprend viscéralement les contraintes qui justifient amplement des prix qui rémunèrent correctement proportionnément le travail considérable. Bernard partage totalement qui défend systématiquement qui explique patiemment qui sensibilise inlassablement continuellement ses clients fidèles. Cette solidarité agricole transcende les productions qui unit horizontalement qui structure notre identité qui nous définit collectivement professionnellement.
La reconnaissance du savoir-faire nécessite acceptation que l’ultra-excellence coûte nécessairement qui ne s’obtient jamais gratuitement magiquement facilement. Cette vérité économique heurte notre société qui veut tout pour rien qui refuse de payer qui exige la perfection à prix cassé. Claire a progressivement compris qui accepte désormais qui privilégie systématiquement qui assume pleinement consciemment dignement. Cette maturité consumériste transforme l’acheteur inconscient en consommateur responsable qui réfléchit qui choisit qui soutient délibérément activement.
Le rapport qualité-prix me paraît globalement honnête qui équilibre correctement qui reflète fidèlement qui rémunère justement proportionnément. Cette tarification transparente assume qui explique qui justifie qui convainc progressivement qui fidélise durablement les connaisseurs. Mon expérience gustative de 2015 m’a enseigné définitivement que cette excellence nécessite expertise qui mérite reconnaissance financière. Cette lucidité acquise respecte le travail des autres qui valorise qui soutient qui encourage qui pérennise l’activité.
La consommation ultra-exceptionnelle me semble le compromis qui célèbre les très grandes occasions qui ritualise qui marque les moments absolument inoubliables. Cette sobriété extrême privilégie la qualité rarissime qui structure qui hiérarchise qui sacralise véritablement certains événements uniques. Claire organise tous les 2-3 ans qui planifie qui prépare qui partage qui transmet cette culture gastronomique. Cette ritualisation rarissime transforme l’achat en événement qui éduque qui mémorise qui construit durablement les enfants admiratifs.
Cette réflexion personnelle transforme une simple question tarifaire en méditation sur ce qui structure notre patrimoine gastronomique qui nous définit.
Le prix d’une pintade chaponnée fermière reflète fidèlement un élevage ultra-spécialisé qui nécessite expertise rare et patience qui justifie amplement l’investissement consenti pour célébrer les très grandes occasions exceptionnelles ! Cette expertise acquise depuis 2015 qui enrichit ma compréhension qui structure mes choix qui guide mes conseils professionnels avisés éclairés.
Mon parcours d’éleveur m’a appris que ces productions d’ultra-exception incarnent des valeurs qui transcendent largement la simple dimension alimentaire nutritionnelle basique ordinaire. N’hésitez pas à investir dans cette volaille rarissime qui récompensera extraordinairement qui honorera magnifiquement qui soutiendra concrètement des producteurs qui méritent reconnaissance absolue.
Comme pour tous les aspects de l’agriculture d’excellence, qu’il s’agisse de valoriser les fromages fermiers ou de gérer une exploitation diversifiée, cette expertise transforme le consommateur passif en acteur responsable qui choisit consciemment qui influence qui construit progressivement le monde agricole qui nourrira dignement nos enfants demain !

Salut ! Moi c’est Émilien, 38 ans, et si on m’avait dit il y a 10 ans que je me leverais à 6h pour aller traire des chèvres, j’aurais bien rigolé !
Ancien informaticien à Lyon pendant 12 ans, j’ai tout quitté en 2018 avec ma femme Claire et nos deux enfants pour reprendre une ferme de 8 hectares en Auvergne. Pas par romantisme, enfin pas que, mais parce qu’on en avait marre du métro-boulot-dodo.
J’ai eu de la chance d’avoir grandi chez mes grands-parents agriculteurs dans le Cantal. Ça m’a donné les bases, même si j’avais tout oublié ! Aujourd’hui, je fais du maraîchage bio sur 2 hectares, j’élève 15 chèvres dont je transforme le lait, je m’occupe de 8 ruches et je rénove les bâtiments quand j’ai le temps.
Claire gère la partie transformation et la vente directe, moi je suis plutôt terrain. Les enfants adorent la vie ici, même s’ils râlent parfois quand il faut donner un coup de main !
Sur ce blog, je raconte ce que je vis au quotidien : mes techniques qui marchent, mes plantages mémorables (et il y en a !), les trucs que m’ont appris les anciens du coin. Pas de grands discours, juste du concret testé sur le terrain.
Parce qu’au final, on apprend tous ensemble, non ?




