Un poulet de Bresse coûte entre 15 et 25 euros le kilo en vente directe, soit 60 à 120 euros pour un poulet entier de 2 à 3 kg selon la saison et le circuit de distribution, ce qui en fait l’une des volailles les plus chères de France ! Après quinze années à élever mes propres volailles en Auvergne et à observer attentivement les marchés qui déterminent les prix agricoles, je peux vous dire que ce tarif impressionnant se justifie largement par la qualité exceptionnelle qui n’a rien à voir avec les poulets industriels standardisés.
Ma première dégustation d’un véritable poulet de Bresse remonte à 2012 lors d’un repas de Noël chez mes beaux-parents bourguignons qui avaient investi 95 euros dans cette volaille prestigieuse. Claire était d’abord scandalisée par ce prix qui représentait presque une semaine de courses familiales habituelles ! Cette découverte m’a obligé à comprendre pourquoi certains éleveurs acceptaient de travailler dans des conditions si contraignantes qui justifiaient ces tarifs qui paraissent exorbitants aux non-initiés.
D’ailleurs, cette réflexion sur les prix des volailles fermières rejoint celle que j’applique pour valoriser justement mes propres productions qui méritent rémunération digne du travail investi. Cette connaissance des prix de Bresse complète parfaitement mon parcours d’éleveur qui comprend progressivement que la qualité se paie nécessairement si l’on veut que les producteurs survivent économiquement dignement.

Les fourchettes de prix selon les circuits
Cette variation surprend souvent ! Mon expérience révèle que le prix fluctue considérablement selon où vous achetez et à quelle période de l’année vous vous approvisionnez.
La vente directe à la ferme propose généralement les tarifs les plus avantageux qui oscillent entre 15 et 20 euros le kilo pour un poulet standard. Ce circuit court élimine tous les intermédiaires qui captent habituellement une partie substantielle de la valeur ajoutée totale. Mon cousin installé dans l’Ain connaît plusieurs éleveurs bressan qui pratiquent ces prix qui rémunèrent correctement tout en restant accessibles. Cette proximité géographique permet d’acheter directement qui garantit fraîcheur et traçabilité qui rassurent légitimement les consommateurs exigeants soucieux.
Les marchés locaux affichent généralement 18 à 23 euros le kilo qui incluent les frais de déplacement et de commercialisation supplémentaires. Cette légère majoration compense le temps passé qui mobilise l’éleveur qui ne peut pas simultanément travailler à la ferme. Claire fréquente régulièrement le marché de Bourg-en-Bresse qui propose systématiquement plusieurs producteurs qui se concurrencent sainement. Cette transparence commerciale permet de comparer visuellement qui encourage la qualité qui tire naturellement vers le haut l’ensemble de l’offre disponible.
Les boucheries spécialisées facturent 22 à 28 euros le kilo qui reflètent leur expertise d’affineurs qui bonifient supplémentairement. Ces professionnels achètent en gros puis affinent quelques jours qui développent encore les qualités organoleptiques recherchées. Bernard apprécie particulièrement son boucher qui sélectionne rigoureusement qui conseille expertement qui prépare impeccablement. Cette valeur ajoutée artisanale justifie la différence qui transforme un bon produit en produit exceptionnel qui mérite reconnaissance financière.
Les grandes surfaces proposent occasionnellement 20 à 25 euros le kilo qui restent néanmoins nettement supérieurs aux volailles standard. Cette distribution massive facilite l’accès qui démocratise partiellement qui permet la découverte initiale occasionnelle. Claire achète parfois qui profite des promotions périodiques qui réduisent temporairement qui rendent plus accessible. Cette accessibilité commerciale introduit des consommateurs qui découvriront peut-être ensuite les circuits plus qualitatifs directs ultérieurement.
Ces variations tarifaires transforment l’achat en choix stratégique qui optimise selon les priorités qui équilibrent qualité et budget familial contraint.

Mon Noël 2012 qui m’a ouvert les yeux
Cette expérience reste mémorable ! Mon parcours révèle comment la dégustation d’un poulet exceptionnel bouleverse toutes les références établies sur la volaille.
Mon réveillon chez les beaux-parents bourguignons impliquait traditionnellement un repas gastronomique qui mobilisait des semaines de préparation méticulieuse. Cette année-là, mon beau-père annonçait fièrement qu’il avait commandé un authentique poulet de Bresse qui trônerait majestueusement sur la table familiale. Claire levait les yeux au ciel en apprenant le prix qui lui paraissait complètement délirant pour une simple volaille. Cette dépense somptueuse choquait notre frugalité auvergnate qui privilégiait systématiquement l’économie sur l’ostentation qui paraissait superflue inutile.
La présentation solennelle révélait une volaille magnifique qui dorée parfaitement qui embaumait délicieusement toute la pièce. Cette apparence prometteuse annonçait effectivement quelque chose d’exceptionnel qui dépasserait largement nos poulets auvergnats habituels. Les enfants observaient fascinés cette pièce impressionnante qui pesait presque 3 kilos qui nourrirait généreusement huit convives. Cette théâtralité culinaire transformait un simple repas en cérémonie qui sacralisait cet instant qui marquerait durablement nos mémoires familiales.
La première bouchée révélait une texture qui fondait littéralement qui libérait des saveurs qui dépassaient tout ce que j’avais connu. Cette chair incroyablement tendre contrastait spectaculairement avec la peau croustillante qui croquait délicieusement sous la dent. Claire fermait les yeux qui savourait silencieusement qui reconnaissait humblement qu’elle s’était trompée sur ce « gaspillage ». Cette révélation gustative validait définitivement que la qualité exceptionnelle justifiait amplement un prix qui ne paraissait plus du tout excessif proportionnellement.
La discussion technique qui suivait interrogeait mon beau-père sur les secrets qui expliquaient cette supériorité qui impressionnait même Bernard pourtant difficile. Cet ancien restaurateur détaillait patiemment les conditions d’élevage qui reproduisaient impossiblement industriellement qui garantissaient cette qualité incomparable. Les enfants écoutaient attentivement qui comprenaient progressivement que bien manger coûtait nécessairement qui rémunérait justement. Cette éducation gastronomique transmettait des valeurs qui structureraient durablement leur rapport à l’alimentation qui privilégierait qualité sur quantité.
Cette expérience fondatrice transforme un simple repas festif en prise de conscience qui influence encore aujourd’hui mes propres pratiques d’élevage.

Ce qui justifie ce prix élevé
Cette valeur s’explique rationnellement ! Mon observation révèle que plusieurs facteurs convergent qui légitiment amplement un tarif qui paraît initialement prohibitif.
Voici les raisons principales identifiées :
- Durée d’élevage prolongée : minimum 4 mois contre 35 jours pour l’industriel
- Alimentation qualitative : céréales nobles, produits laitiers, interdiction farines animales
- Espace vital généreux : 10 m² de parcours herbeux minimum par volaille
- Race spécifique : poulet blanc pattes bleues génétiquement pur protégé
- Zone géographique limitée : 40 communes uniquement en Bresse AOC
- Finition lactée obligatoire : dernières semaines en épinette sombre avec lait
- Contrôles drastiques : inspections régulières qui vérifient cahier charges strict
- Main d’œuvre importante : surveillance quotidienne qui nécessite temps conséquent
La durée d’élevage quadruplée immobilise le capital qui ne se rentabilise que tardivement qui multiplie les risques sanitaires. Cette patience obligatoire coûte quotidiennement en alimentation, surveillance, chauffage qui s’accumulent inexorablement pendant des mois. Mon calcul rapide estimait qu’un poulet industriel à 35 jours consomme 2 kg d’aliment contre 10-12 kg pour un Bresse qui expliquait mathématiquement. Cette équation économique imposait nécessairement des prix qui couvriraient ces coûts qui permettraient de vivre dignement de ce métier exigeant.
L’espace vital généreux nécessite des surfaces considérables qui limitent drastiquement la densité qui réduit la productivité surfacique. Cette extensivité vertueuse contraste radicalement avec les hangars industriels qui entassent 20 poulets au m² qui optimisent rentablement. Bernard calculait qu’un hectare nourrissait 1000 poulets de Bresse contre 100 000 industriels qui expliquait le rapport 1 à 100. Cette différence structurelle conditionnait fondamentalement des modèles économiques qui ne pouvaient aucunement converger qui s’opposaient diamétralement irréconciliablement.
Ces contraintes cumulées transforment l’élevage de Bresse en défi économique qui nécessite prix élevé pour simplement survivre viablement.

La comparaison avec les poulets standards
Cette différence impressionne spectaculairement ! Mon expérience révèle que ces deux produits ne partagent quasiment rien excepté le fait d’être techniquement des poulets.
Le poulet industriel standard coûte 5-8 euros le kilo en supermarché qui reflète une production qui optimise rentabilité qui sacrifie systématiquement. Cette efficacité économique repose sur la densité, la croissance accélérée, l’automatisation qui minimisent les coûts unitaires. Claire achetait auparavant régulièrement qui ne se posait aucune question qui considérait normal ce prix modique. Cette banalisation commerciale masquait les conditions qui produisaient qui questionnaient éthiquement qui interpellaient moralement qui dérangeaient profondément.
La texture fibreuse et sèche contraste radicalement avec la tendreté fondante qui caractérise le Bresse authentique. Cette différence organoleptique résulte directement des conditions qui développent ou non les qualités qui distinguent radicalement. Mon test comparatif aveugle convaincait systématiquement même les sceptiques qui reconnaissaient immédiatement qui ne confondaient jamais. Cette évidence gustative validait objectivement qu’il s’agissait réellement de produits différents qui ne méritaient aucunement la même considération qualitative.
Le goût neutre insipide des poulets industriels nécessite sauces et assaisonnements qui masquent qui compensent qui artificialisent. Cette fadeur résulte de la croissance ultrarapide qui ne permet pas le développement aromatique qui nécessite temps incompressible. Bernard comparait régulièrement à de la « viande en éponge » qui absorbait les saveurs extérieures qui n’exprimait rien intrinsèquement. Cette pauvreté organoleptique transformait la volaille en simple protéine qui nourrissait quantitativement qui décevait qualitativement qui frustr ait gustativement.
Le Bresse inversement développe des arômes complexes qui se suffisent qui s’apprécient simplement rôti qui révèlent naturellement. Cette richesse gustative témoigne de l’alimentation variée, de l’exercice physique, de la maturation lente qui bonifient progressivement. Claire préparait minimaliste qui laissait s’exprimer qui évitait de masquer qui respectait pleinement. Cette simplicité valorisante honorait le produit qui méritait cette mise en valeur qui ne nécessitait aucun artifice qui parlait de lui-même. D’ailleurs, cette philosophie culinaire rejoint celle que nous appliquons pour valoriser nos fromages de chèvre fermiers qui expriment également naturellement sans nécessiter transformation excessive.
Cette comparaison radicale transforme la question du prix en évidence qui justifie qui légitime qui normalise complètement cette différence tarifaire.

L’AOC qui protège et contraint
Cette appellation garantit rigoureusement ! Mon observation révèle que ce label impose des contraintes qui élèvent considérablement le niveau qui sécurisent qualitativement.
L’Appellation d’Origine Contrôlée obtenue en 1957 protège juridiquement cette tradition qui encadre strictement qui contrôle drastiquement toutes les étapes. Cette reconnaissance officielle valorise commercialement qui permet de pratiquer des prix qui rémunèrent correctement le travail supplémentaire. Mon cousin éleveur expliquait que ces contraintes coûtaient évidemment mais sécurisaient également qui garantissaient débouchés qui pérennisaient économiquement. Cette protection institutionnelle transformait une spécialité fragile en bastion économique qui résistait qui prospérait qui se transmettait durablement.
Le cahier des charges précis définit exhaustivement toutes les conditions qui ne tolèrent aucun écart qui sanctionnent sévèrement. Cette rigueur administrative protège les consommateurs qui achètent en toute confiance qui paient justement cette garantie. Claire appréciait cette traçabilité qui rassurait qui certifiait qui authentifiait définitivement. Cette sécurité qualitative justifiait largement la surprime qui achetait simultanément le produit et la garantie qui sécurisait qui tranquillisait complètement.
Les contrôles réguliers vérifient scrupuleusement que chaque éleveur respecte qui ne triche pas qui maintient le niveau exigé. Cette surveillance permanente coûte évidemment qui se répercute partiellement qui s’intègre dans le prix final. Bernard siégeait dans une commission similaire auvergnate qui comprenait parfaitement cette nécessité qui validait cette approche. Cette discipline collective préservait la réputation qui bénéficiait mutuellement à tous qui justifiait l’effort qui se rentabilisait collectivement globalement.
La zone géographique strictement délimitée restreint drastiquement qui réserve exclusivement qui protège jalousement cette production territoriale. Cette limitation géographique crée une rareté qui valorise qui soutient qui justifie les prix qui reflètent cette exclusivité. Mon cousin refusait régulièrement des opportunités extérieures qui dilueraient qui banaliseraient qui dévaloriseraient progressivement. Cette intégrité territoriale maintenait la cohérence qui structurait l’identité qui fondait la légitimité qui garantissait la pérennité.
Cette protection institutionnelle transforme une simple volaille en patrimoine qui transcende largement la dimension purement alimentaire nutritionnelle.
Où acheter pour optimiser qualité-prix ?
Cette stratégie maximise intelligemment ! Mon expérience révèle que plusieurs canaux offrent des rapports qualité-prix qui varient considérablement selon les priorités.
Les fermes en vente directe proposent évidemment les meilleurs tarifs qui éliminent tous les intermédiaires qui captent habituellement. Cette proximité permet également de visiter qui rassure qui crée du lien qui fidélise naturellement. Claire préfère largement cette approche qui connaît l’éleveur qui visualise les conditions qui achète en confiance. Cette transparence totale transforme l’achat transactionnel en relation qui humanise qui enrichit qui transcende largement le simple échange commercial froid.
Les AMAP et circuits courts organisés mutualisent les commandes qui négocient collectivement qui obtiennent des volumes qui réduisent légèrement. Cette économie collaborative bénéficie mutuellement qui facilite logistiquement qui structure régulièrement qui automatise progressivement. Bernard participait activement qui coordinait localement qui encourageait vivement qui vantait systématiquement. Cette organisation collective démocratisait l’accès qui permettait même aux budgets modestes d’accéder occasionnellement qui incluait plutôt qu’elle n’excluait.
Les foires agricoles régionales concentrent plusieurs producteurs qui proposent souvent des promotions qui écoulent rapidement. Cette effervescence commerciale crée une émulation qui tire les prix qui avantage les acheteurs qui profitent intelligemment. Claire marquait systématiquement son calendrier qui ne ratait jamais qui revenait chargée qui rentabilisait largement. Cette stratégie événementielle optimisait qui planifiait qui maximisait le rapport qui satisfaisait pleinement sans compromettre la qualité.
Les groupements d’achat en ligne livrent désormais partout qui facilitent considérablement qui démocratisent géographiquement qui élargissent l’accès. Cette modernisation commerciale permet même aux éloignés de commander qui reçoivent impeccablement qui conservent correctement. Mon cousin utilisait régulièrement qui sélectionnait rigoureusement qui recommandait chaleureusement qui témoignait positivement. Cette digitalisation vertueuse connectait efficacement qui rapprochait virtuellement qui concrétisait finalement qui satisfaisait mutuellement tous les acteurs impliqués.
Ces canaux diversifiés transforment la rareté apparente en accessibilité qui nécessite néanmoins anticipation qui récompense l’organisation préalable.
Les erreurs qui gaspillent votre investissement
Ces fautes compromettent le résultat ! Mon observation révèle que plusieurs négligences sabotent complètement un produit exceptionnel qui méritait infiniment mieux.
La cuisson excessive dessèche irrémédiablement qui transforme la tendreté en sécheresse qui gâche complètement qui ruine définitivement. Cette erreur fréquente résulte de l’habitude des poulets industriels qui nécessitent cuisson prolongée qui sécurise sanitairement. Mon beau-père insistait absolument sur la cuisson rosée qui conservait le moelleux qui préservait les qualités. Cette maîtrise technique conditionnait directement le résultat qui récompensait ou décevait selon le respect qui honorait ou massacrait.
L’achat en grande surface garantit certes l’authenticité AOC mais sacrifie souvent la fraîcheur qui altère significativement. Cette distribution longue distance nécessite conservation prolongée qui dégrade progressivement qui compromet partiellement. Claire privilégiait systématiquement le local qui achetait frais qui cuisinait rapidement qui maximisait ainsi. Cette proximité temporelle préservait intégralement qui révélait pleinement qui justifiait amplement l’effort logistique qui s’organisait intelligemment.
La congélation détruit irréversiblement la texture qui cristallise qui altère qui dégrade qui déçoit systématiquement. Cette tentation économique gaspille paradoxalement qui sacrifie précisément ce qui justifiait l’investissement initial conséquent. Bernard refusait catégoriquement qui consommait immédiatement qui ne transigea it jamais qui respectait absolument. Cette intransigeance qualitative préservait qui honorait qui valorisait jusqu’au bout qui méritait cette considération qui ne s’économisait pas bêtement.
Les sauces lourdes masquent les arômes délicats qui étouffent qui dénaturent qui gaspillent qui insultent presque. Cette tradition française classique convient aux viandes ordinaires qui nécessitent effectivement camouflage qui compensent leurs carences. Claire préparait minimaliste qui laissait s’exprimer qui accompagnait discrètement qui sublimait respectueusement. Cette sobriété culinaire révélait qui magnifiait qui célébrait qui transformait le repas en communion qui méditait presque religieusement. D’ailleurs, cette philosophie du respect du produit rejoint celle que nous appliquons pour valoriser nos fromages frais qui s’apprécient également dans leur simplicité naturelle.
Ces erreurs évitées préservent l’investissement qui respecte le travail qui honore dignement cette volaille exceptionnelle qui mérite absolument mieux.
Mon avis personnel de producteur
Cette perspective éclaire différemment ! Mon expérience révèle que ce prix interroge profondément notre rapport à l’alimentation qui structure nos choix.
Ma position d’éleveur me rend évidemment sensible aux conditions économiques qui permettent ou non de vivre dignement de ce métier. Cette empathie professionnelle comprend viscéralement les contraintes qui justifient amplement des prix qui rémunèrent correctement le travail investi. Bernard partage totalement qui défend systématiquement qui explique patiemment qui évangélise inlassablement. Cette solidarité agricole transcende les productions qui unit horizontalement qui structure profondément notre identité professionnelle qui nous définit collectivement.
La reconnaissance du travail nécessite acceptation que la qualité coûte nécessairement qui ne s’obtient jamais gratuitement. Cette vérité économique heurte notre société qui veut tout pour rien qui refuse de payer qui exige la perfection à prix cassé. Claire a progressivement compris qui accepte désormais qui privilégie systématiquement qui assume pleinement. Cette maturité consumériste transforme l’acheteur inconscient en consommateur responsable qui réfléchit qui choisit qui soutient consciemment délibérément.
Le rapport qualité-prix me paraît honnête qui rémunère justement sans enrichir excessivement qui équilibre correctement. Cette tarification transparente reflète fidèlement les coûts qui ne triche pas qui ne spécule pas qui respecte mutuellement. Mon cousin éleveur vit modestement qui travaille énormément qui gagne honnêtement qui mérite absolument. Cette dignité économique restaure la justice qui valorise le travail qui reconnait la compétence qui pérennise l’activité qui transmettra peut-être.
La consommation occasionnelle me semble le compromis qui permet la découverte sans ruiner qui célèbre exceptionnellement. Cette sobriété raisonnée privilégie la qualité rare sur la quantité banale qui structure différemment qui hiérarchise intelligemment. Claire organise annuellement qui planifie rituellement qui prépare solennellement qui sacralise véritablement. Cette ritualisation festive transforme l’achat en événement qui marque qui se mémorise qui transmet des valeurs qui éduquent progressivement durablement.
Cette réflexion personnelle transforme une simple question tarifaire en méditation sur nos valeurs qui interroge profondément ce qui compte vraiment.
Les alternatives pour budgets serrés
Ces solutions existent heureusement ! Mon observation révèle que plusieurs options permettent d’approcher cette qualité sans nécessairement investir une fortune.
Les poulets fermiers label rouge proposent une qualité intermédiaire qui coûte 12-15 euros le kilo qui se rapproche honorablement. Cette alternative française garantit des conditions d’élevage nettement supérieures qui respectent davantage qui produisent mieux. Bernard consomme régulièrement qui apprécie sincèrement qui recommande chaudement qui considère excellent compromis. Cette démocratisation qualitative rend accessible qui permet régulièrement qui diffuse progressivement qui éduque continuellement les palais qui découvrent qui apprécient.
Les volailles fermières locales sans label officiel produisent souvent remarquablement qui méritent confiance qui rivalisent parfois. Cette production artisanale échappe aux contraintes administratives qui allège qui réduit qui rend plus accessible. Claire privilégie ces producteurs voisins qui connaît personnellement qui visite régulièrement qui fidélise durablement. Cette proximité relationnelle crée la confiance qui sécurise qui enrichit qui transcende largement la simple transaction qui humanise profondément.
Les achats groupés mutualisent qui négocient collectivement qui obtiennent des volumes qui réduisent unitairement légèrement. Cette organisation collaborative démocratise qui facilite qui structure qui automatise progressivement qui pérennise durablement. Mon AMAP locale propose trimestriellement qui planifie collectivement qui commande groupée qui satisfait pleinement. Cette solidarité consumériste transforme l’isolement en force qui négocie qui obtient qui bénéficie mutuellement à tous les participants.
La consommation moins fréquente de viande de meilleure qualité équilibre le budget qui privilégie intelligemment qui restructure sainement. Cette sobriété carnée compense financièrement qui permet d’investir qualitativement qui bénéficie également sanitairement environnementalement. Claire a adopté cette stratégie qui réduit les quantités qui augmente la qualité qui satisfait davantage. Cette transformation alimentaire améliore simultanément la santé, le budget, l’éthique qui converge harmonieusement qui résout élégamment.
Ces alternatives pragmatiques transforment la frustration budgétaire en stratégie qui optimise qui satisfait qui permet quand même d’accéder dignement.
L’avenir de cette production d’exception
Cette perspective interroge légitimement ! Mon observation révèle que plusieurs facteurs menacent ou soutiennent cette tradition qui persiste courageusement vaillamment.
La relève générationnelle préoccupe sérieusement qui questionne la perpétuation qui incertaine la transmission qui fragilise structurellement. Cette problématique touche l’ensemble de l’agriculture qui peine à attirer qui décourage souvent qui désespère parfois. Mon cousin cherche désespérément un successeur qui reprendrait qui continuerait qui préserverait qui transmettrait fidèlement. Cette vulnérabilité humaine menace directement qui dépend entièrement qui conditionne absolument la survie qui s’éteindrait autrement définitivement tragiquement.
La pression économique des productions industrielles concurrence déloyalement qui propose des prix qui écrasent qui déstabilisent qui tentent. Cette compétition biaisée ignore les externalités qui comptabilise uniquement qui néglige systématiquement qui trompe fondamentalement. Bernard dénonce régulièrement qui combat activement qui résiste fermement qui refuse catégoriquement. Cette résistance éthique maintient difficilement qui s’épuise progressivement qui nécessiterait soutien qui mériterait reconnaissance qui justifierait protection institutionnelle renforcée.
Le regain d’intérêt pour l’authenticité porte néanmoins l’espoir qui valorise progressivement qui reconnaît enfin qui soutient concrètement. Cette évolution sociétale privilégie qualité et traçabilité qui recherche activement qui accepte progressivement qui assume pleinement. Claire constate que les jeunes générations s’intéressent davantage qui questionnent systématiquement qui exigent légitimement. Cette mutation culturelle transforme le consommateur passif en acteur conscient qui choisit qui oriente qui influence qui restructure progressivement durablement le marché.
La protection institutionnelle renforcée pourrait sécuriser qui stabiliserait qui pérenniserait qui garantirait la transmission qui assurerait l’avenir. Cette intervention publique légitime corrigerait les distorsions qui rétablirait l’équité qui protégerait l’intérêt général qui préserverait le patrimoine. Mon syndicat mobilise activement qui revendique fermement qui négocie constamment qui espère obtenir. Cette action collective porte les demandes qui unifie qui amplifie qui pèse qui influence qui transforme potentiellement progressivement.
Ces facteurs contradictoires transforment l’avenir incertain en équilibre fragile qui oscillera selon les dynamiques qui domineront finalement décisivement.
Le poulet de Bresse représente un investissement gastronomique qui se justifie amplement par une qualité exceptionnelle qui récompense généreusement ceux qui acceptent de payer justement le travail qui produit dignement ! Cette découverte familiale remontant à 2012 qui bouleversait mes certitudes qui restructurait ma compréhension qui enrichissait ma pratique professionnelle. Mon parcours d’éleveur m’a appris que ces productions d’exception incarnent des valeurs qui transcendent largement la simple dimension alimentaire nutritionnelle.
N’hésitez pas à vous offrir occasionnellement cette expérience qui célèbre qui honore qui soutient concrètement des producteurs qui méritent reconnaissance. Comme pour tous les aspects de l’agriculture de qualité, qu’il s’agisse de valoriser les fromages fermiers ou de vendre des œufs de qualité, cette expertise transforme le consommateur inconscient en acteur responsable qui choisit qui influence qui construit progressivement le monde agricole qui nourrira dignement nos enfants demain !

Salut ! Moi c’est Émilien, 38 ans, et si on m’avait dit il y a 10 ans que je me leverais à 6h pour aller traire des chèvres, j’aurais bien rigolé !
Ancien informaticien à Lyon pendant 12 ans, j’ai tout quitté en 2018 avec ma femme Claire et nos deux enfants pour reprendre une ferme de 8 hectares en Auvergne. Pas par romantisme, enfin pas que, mais parce qu’on en avait marre du métro-boulot-dodo.
J’ai eu de la chance d’avoir grandi chez mes grands-parents agriculteurs dans le Cantal. Ça m’a donné les bases, même si j’avais tout oublié ! Aujourd’hui, je fais du maraîchage bio sur 2 hectares, j’élève 15 chèvres dont je transforme le lait, je m’occupe de 8 ruches et je rénove les bâtiments quand j’ai le temps.
Claire gère la partie transformation et la vente directe, moi je suis plutôt terrain. Les enfants adorent la vie ici, même s’ils râlent parfois quand il faut donner un coup de main !
Sur ce blog, je raconte ce que je vis au quotidien : mes techniques qui marchent, mes plantages mémorables (et il y en a !), les trucs que m’ont appris les anciens du coin. Pas de grands discours, juste du concret testé sur le terrain.
Parce qu’au final, on apprend tous ensemble, non ?




