Une poularde fermière coûte entre 18 et 30 euros le kilo en vente directe, soit 90 à 180 euros pour une pièce complète de 4 à 6 kg selon la qualité et le circuit de distribution, ce qui en fait l’une des volailles les plus prestigieuses et les plus chères du marché festif ! Après quinze années à élever mes propres volailles en Auvergne et à observer attentivement les prix qui structurent les marchés agricoles qui fluctuent considérablement, je peux vous dire que ce tarif élevé se justifie amplement par un élevage long et méticuleux qui n’a strictement rien à voir avec les volailles industrielles standardisées.
Ma première expérience avec les poulardes remonte à 2013 quand j’avais décidé d’en élever trois pour tester le marché des fêtes de fin d’année qui promettait des débouchés lucratifs intéressants. Claire était sceptique en voyant ces jeunes poulettes qui ne ressemblaient pourtant en rien aux futures poulardes dodues qui impressionneraient nos clients ultérieurement ! Cette aventure m’a obligé à comprendre pourquoi cette volaille si particulière commande des prix qui paraissent astronomiques aux non-initiés qui découvrent stupéfaits.
D’ailleurs, cette réflexion sur les prix des volailles festives rejoint celle que j’applique pour valoriser justement toutes mes productions qui méritent rémunération proportionnée au travail considérable investi quotidiennement patiemment. Cette connaissance des prix de poularde complète parfaitement mon parcours d’éleveur qui comprend progressivement que certaines productions nécessitent une expertise spécifique qui justifie des tarifs qui reflètent fidèlement la réalité économique concrète vécue.

Les fourchettes de prix selon les circuits
Cette variation impressionne considérablement ! Mon expérience révèle que le prix fluctue spectaculairement selon où vous achetez et à quel moment de l’année vous vous approvisionnez stratégiquement.
La vente directe à la ferme propose généralement les tarifs les plus avantageux qui oscillent entre 18 et 22 euros le kilo pour une poularde fermière de qualité supérieure. Ce circuit court élimine tous les intermédiaires qui captent habituellement une partie substantielle de la valeur ajoutée totale créée. Mon voisin Bernard élève occasionnellement des poulardes qui pratique 20 euros le kilo qui rémunère correctement son travail sans enrichir excessivement. Cette proximité géographique permet d’acheter directement qui garantit fraîcheur et traçabilité qui rassurent légitimement les consommateurs exigeants soucieux.
Les marchés locaux affichent généralement 22 à 28 euros le kilo qui incluent les frais de déplacement et de commercialisation supplémentaires nécessaires. Cette légère majoration compense le temps passé qui mobilise l’éleveur qui ne peut pas simultanément travailler à la ferme productrice. Claire fréquente régulièrement le marché de Bourg-en-Bresse en décembre qui propose systématiquement plusieurs producteurs qui se concurrencent sainement qualitativement. Cette transparence commerciale permet de comparer visuellement qui encourage la qualité qui tire naturellement vers le haut l’ensemble de l’offre disponible régionale.
Les boucheries spécialisées facturent 25 à 32 euros le kilo qui reflètent leur expertise d’affineurs qui sélectionnent rigoureusement qui préparent impeccablement professionnellement. Ces professionnels achètent en gros puis affinent quelques jours qui développent encore les qualités organoleptiques recherchées exceptionnelles. Mon beau-père apprécie particulièrement son boucher lyonnais qui sélectionne exigeant qui conseille expertement qui prépare magistralement. Cette valeur ajoutée artisanale justifie la différence qui transforme un bon produit en produit exceptionnel qui mérite reconnaissance financière légitime.
Les grandes surfaces proposent occasionnellement 20 à 26 euros le kilo qui démocratisent partiellement l’accès qui facilitent la découverte initiale occasionnelle. Cette distribution massive rend plus accessible qui permet aux urbains de découvrir qui introduit progressivement cette volaille prestigieuse. Claire achète parfois qui profite des promotions périodiques qui réduisent temporairement qui rendent plus abordable. Cette accessibilité commerciale introduit des consommateurs qui évolueront peut-être ensuite vers les circuits plus qualitatifs directs ultérieurement.
Ces variations tarifaires transforment l’achat en choix stratégique qui optimise selon les priorités qui équilibrent qualité et budget familial contraint.

Mon expérience d’élevage en 2013
Cette aventure reste mémorable ! Mon parcours révèle comment l’élevage d’une poularde nécessite une patience et une attention qui dépassent largement celle d’un poulet standard.
Mon projet d’élever trois poulardes pour les fêtes visait à tester ce marché de niche qui promettait des marges intéressantes qui justifieraient l’effort supplémentaire. Cette initiative printanière sélectionnait trois jeunes poulettes promises qui grandiraient tranquillement pendant 7 mois qui atteindraient 5-6 kg finalement. Claire me regardait avec des yeux dubitatifs en écoutant mon plan ambitieux qui lui paraissait compliqué inutilement. Cette insouciance masculine typique sous-estimait superbement les défis qui se révéleraient progressivement qui enseigneraient humblement patiemment.
La gestion quotidienne nécessitait une vigilance constante qui surveillait l’alimentation qui contrôlait la croissance qui prévenait les problèmes sanitaires. Cette attention particulière contrastait radicalement avec mes poules qui se géraient quasi-automatiquement qui ne posaient aucun problème particulier. Les enfants adoraient ces trois grosses volailles qui se pavanaient majestueusement qui réclamaient constamment qui mangeaient énormément. Cette présence imposante impressionnait les visiteurs qui admiraient ces oiseaux magnifiques qui promettaient effectivement des résultats exceptionnels gastronomiquement.
Le gavage final des trois dernières semaines transformait littéralement ces volailles qui gonflaient spectaculairement qui développaient cette chair tendre recherchée. Cette étape cruciale nécessitait des rations enrichies en céréales nobles et produits laitiers qui coûtaient considérablement qui s’accumulaient quotidiennement. Bernard me conseillait précisément qui partageait son expérience qui guidait attentivement qui encourageait paternellement. Cette transmission fraternelle facilitait considérablement qui évitait les erreurs grossières qui optimisait qui sécurisait le processus complexe délicat.
Le résultat final impressionnait effectivement qui produisait trois magnifiques poulardes de 5,2 kg qui se vendaient 22 euros le kilo immédiatement. Cette réussite commerciale rapportait 343 euros qui rémunérait correctement les 7 mois d’efforts qui validait économiquement. Claire reconnaissait humblement que mon projet fonctionnait qui acceptait que je récidive qui encourageait même. Cette victoire familiale légitimait qui motivait qui structurait qui ouvrait des perspectives qui s’exploreraient ultérieurement prudemment progressivement.
Cette expérience fondatrice transforme une simple curiosité en conviction qui s’ancre dans la pratique qui valide empiriquement concrètement.

Ce qui distingue la poularde du poulet
Cette différence reste mal connue ! Mon observation révèle que beaucoup de consommateurs confondent ces deux volailles qui partagent peu en réalité.
Voici les caractéristiques distinctives principales :
- Sexe et castration : poularde est une jeune poule non pondeuse engraissée spécialement
- Durée d’élevage : 5 à 7 mois minimum contre 3-4 mois pour poulet fermier
- Poids impressionnant : 4 à 6 kg contre 2-3 kg pour poulet standard fermier
- Finition à l’obscurité : dernières semaines en épinette sombre qui affine texture
- Gavage laitier : alimentation enrichie céréales nobles et produits laitiers généreux
- Chair persillée : graisse intramusculaire qui fond qui attendrit qui parfume délicieusement
- Texture fondante : tendreté exceptionnelle qui se découpe facilement qui fond littéralement
- Saisonnalité festive : production concentrée novembre-décembre pour fêtes traditionnellement
La durée d’élevage doublée immobilise le capital qui ne se rentabilise que tardivement qui multiplie les risques sanitaires considérablement. Cette patience obligatoire coûte quotidiennement en alimentation, surveillance, chauffage qui s’accumulent inexorablement pendant des mois entiers. Mon calcul rapide estimait qu’une poularde consomme 30-35 kg d’aliment complet contre 8-10 kg pour un poulet qui expliquait mathématiquement. Cette équation implacable imposait nécessairement des prix minimums qui couvriraient ces coûts qui permettraient de vivre dignement de ce métier exigeant.
La finition à l’obscurité constitue une spécificité qui transforme littéralement la chair qui développe cette tendreté exceptionnelle recherchée. Cette technique ancestrale enferme les volailles dans des cages obscures qui limitent les mouvements qui engraissent qui affinent. Bernard pratique cette méthode traditionnelle qui respecte scrupuleusement qui transmet fidèlement qui perpétue authentiquement.
Cette tradition séculaire structure l’identité qui garantit la qualité qui justifie amplement la réputation qui commande ces prix élevés. D’ailleurs, cette expertise en volailles festives rejoint celle que je développe pour toutes mes productions avicoles fermières qui nécessitent également attention particulière spécifique.
Ces différences fondamentales transforment la poularde en volaille d’exception qui mérite pleinement son statut qui justifie son prix.

Les facteurs qui justifient ce prix élevé
Cette valeur s’explique rationnellement ! Mon expérience révèle que plusieurs éléments convergent qui légitiment amplement un tarif qui paraît initialement prohibitif excessif.
Le coût alimentaire colossal représente probablement le poste le plus lourd qui dévore littéralement le budget d’élevage progressivement inexorablement. Cette consommation impressionnante de céréales nobles enrichies en produits laitiers coûte 12 à 16 euros uniquement en alimentation. Mon expérience de 2013 confirmait que ce poste pesait 40-45% du prix final qui structurait fondamentalement l’économie. Cette réalité mathématique imposait mécaniquement des tarifs qui couvriraient minimalement qui rémunéreraient décemment qui pérenniseraient l’activité.
La durée d’immobilisation prolongée mobilise le capital qui ne produit aucun revenu qui nécessite trésorerie qui pèse financièrement. Cette patience obligatoire contraste avec les poulets qui se renouvellent 4 fois annuellement qui tournent qui rentabilisent rapidement. Claire comprend parfaitement cette dimension financière qui calcule qui anticipe qui gère rigoureusement. Cette contrainte trésorière filtre naturellement les éleveurs qui nécessite solidité qui exige patience qui réserve aux motivés déterminés.
Le savoir-faire spécifique nécessite une expertise qui s’acquiert progressivement qui se transmet oralement qui se perfectionne continuellement. Cette compétence rare valorise légitimement qui justifie qui rémunère qui reconnaît professionnellement. Bernard a mis des années à maîtriser qui partage généreusement qui transmet patiemment qui perpétue fidèlement. Cette rareté technique crée une barrière à l’entrée qui protège qui valorise qui justifie économiquement qui stabilise le marché.
La main d’œuvre quotidienne mobilise du temps qui surveille qui soigne qui nourrit qui nettoie méticuleusement régulièrement. Cette attention constante contraste avec les élevages automatisés qui minimisent qui standardisent qui industrialisent massivement. Mon investissement temporel estimait 15-20 minutes quotidiennes par poularde qui cumulait qui accumulait qui totalisait considérablement. Cette intensité humaine valorise le travail qui humanise qui différencie radicalement qui justifie amplement la surprime demandée légitimement.
Ces contraintes cumulées transforment l’élevage de poulardes en défi économique qui nécessite prix élevé pour simplement équilibrer viablement.

La saisonnalité qui structure le marché
Cette concentration temporelle influence drastiquement ! Mon observation révèle que le marché des poulardes se concentre quasi-exclusivement sur les fêtes qui créent une demande massive ponctuelle.
La période de Noël concentre facilement 90% des ventes annuelles qui mobilise toute la filière qui structure complètement cette production festive. Cette tradition gastronomique française privilégie historiquement la poularde qui symbolise l’abondance qui célèbre solennellement. Claire constate que les commandes démarrent mi-novembre qui explosent début décembre qui culminent le 20 décembre frénétiquement. Cette concentration extrême permet aux éleveurs de rentabiliser annuellement qui compensent les périodes creuses qui équilibrent globalement.
Le reste de l’année propose une demande quasi-inexistante qui décourage la production qui réoriente vers d’autres volailles commercialement. Cette mévente chronique explique pourquoi les éleveurs ne produisent qu’en une seule fois qui planifient qui concentrent intelligemment. Bernard ne propose des poulardes que pour Noël qui refuse catégoriquement le reste qui optimise rationnellement. Cette spécialisation temporelle structure l’organisation qui rationalise qui maximise qui évite les périodes déficitaires qui ruineraient progressivement.
La commande anticipée devient absolument indispensable qui sécurise la disponibilité qui garantit la qualité qui évite les ruptures frustrantes. Cette réservation préalable permet aux éleveurs de planifier précisément qui d’ajuster qui d’optimiser qui de satisfaire impeccablement. Mon cousin commande systématiquement fin octobre qui réserve qui sécurise qui tranquillise complètement. Cette discipline temporelle prévient les déceptions qui structure intelligemment qui anticipe sereinement qui récompense l’organisation prévoyante.
Le marché de janvier liquide les invendus qui cassent les prix qui sacrifient les marges qui désespèrent les producteurs malheureusement. Cette démarque massive profite aux consommateurs qui achètent malin qui congèlent qui consomment ultérieurement économiquement. Claire surveille occasionnellement qui profite parfois qui optimise qui économise substantiellement sans compromettre. Cette opportunité post-festive exploite les déséquilibres qui bénéficie qui récupère qui valorise les invendus qui évitent le gaspillage.
Cette saisonnalité extrême transforme la poularde en produit ultra-spécialisé qui structure complètement son économie qui conditionne son prix.

La comparaison avec le chapon et la dinde
Cette mise en perspective éclaire ! Mon expérience révèle que ces trois volailles festives se positionnent différemment qui offrent des alternatives qui satisfont diversement.
Le chapon domine hiérarchiquement qui culmine gastronomiquement qui atteint 22-35 euros le kilo qui surpasse même la poularde prestigieuse. Cette volaille castration nécessite gavage intensif qui développe cette chair persillée exceptionnelle qui fond littéralement. Mon beau-père commande systématiquement un chapon de Bresse qui investit 180-200 euros qui célèbre solennellement qui sacralise véritablement. Cette aristocratie avicole structure symboliquement qui hiérarchise culturellement qui valorise suprêmement qui couronne gastronomiquement l’excellence festive absolue.
La poularde se positionne intermédiaire qui offre un compromis qui équilibre qualité et accessibilité qui satisfait largement. Cette option raisonnable propose une excellente qualité qui reste néanmoins inférieure au chapon mythique qui coûte proportionnellement. Claire privilégie généralement la poularde qui apprécie qui maîtrise qui assume budgétairement qui satisfait pleinement. Cette voie médiane démocratise l’excellence qui permet d’accéder qui célèbre dignement qui honore respectueusement sans ruiner complètement.
La dinde se situe nettement en dessous qui propose 8-15 euros le kilo qui démocratise massivement qui nourrit généreusement. Cette volaille volumineuse convient parfaitement aux grandes tablées qui rassemblent qui partagent qui célèbrent collectivement. Bernard élève principalement des dindes fermières qui vend facilement qui satisfait largement qui rentabilise correctement. Cette alternative populaire démocratise l’accès qui permet même aux budgets modestes de fêter dignement qui inclut plutôt qu’elle n’exclut.
Le poulet festif label rouge propose 12-18 euros le kilo qui offre une quatrième option qui complète harmonieusement. Cette solution économique maintient néanmoins une qualité supérieure qui surpasse largement l’industriel qui satisfait honorablement. Claire alterne régulièrement qui varie intelligemment qui diversifie agréablement qui évite la monotonie qui enrichit. Cette diversité avicole structure l’offre qui adapte qui personnalise qui répond aux attentes variées qui coexistent légitimement.
Cette comparaison nuancée transforme le choix en stratégie qui optimise selon les priorités qui équilibre les contraintes qui satisfait diversement.
Les erreurs qui gâchent votre investissement
Ces fautes compromettent le résultat ! Mon observation révèle que plusieurs négligences sabotent complètement un produit exceptionnel qui méritait infiniment mieux attentivement.
La cuisson excessive dessèche irrémédiablement qui transforme la tendreté en sécheresse qui ruine qui massacre définitivement tragiquement. Cette erreur fréquente résulte de la peur sanitaire qui sur-cuit systématiquement qui détruit qui gâche complètement. Mon beau-père insiste absolument sur le thermomètre qui garantit 75°C à cœur qui suffit amplement qui préserve. Cette précision technique conditionne directement le résultat qui récompense ou déçoit selon le respect qui honore ou sabote criminellement.
L’achat trop précoce nécessite congélation qui altère irréversiblement la texture qui cristallise qui dégrade qui déçoit systématiquement. Cette anticipation excessive sacrifie précisément ce qui justifiait l’investissement initial conséquent qui gaspille qui frustre. Claire refuse catégoriquement qui achète 2-3 jours avant qui consomme rapidement qui préserve intégralement. Cette discipline temporelle maximise qui révèle pleinement qui honore dignement qui respecte absolument le produit exceptionnel.
La cuisson directe sans repos préalable contracte qui durcit qui assèche qui compromet qui dégrade substantiellement regrettablement. Cette impatience gaspille les heures de maturation qui auraient attendri qui auraient bonifié qui auraient sublimé magnifiquement. Mon beau-père sort systématiquement 2-3 heures avant qui tempère qui détend qui optimise qui magnifie finalement. Cette patience culinaire récompense généreusement qui transforme radicalement qui élève spectaculairement le résultat final obtenu.
Les farces lourdes masquent les arômes délicats qui étouffent qui dénaturent qui gaspillent qui insultent presque criminellement. Cette tradition classique convient aux volailles ordinaires qui nécessitent effectivement camouflage qui compensent leurs carences manifestes. Claire prépare minimaliste qui laisse s’exprimer qui accompagne discrètement qui sublime respectueusement dignement. Cette sobriété culinaire révèle qui magnifie qui célèbre qui transforme le repas en communion qui médite presque religieusement respectueusement.
Ces erreurs évitées préservent l’investissement qui respecte le travail qui honore dignement cette volaille exceptionnelle qui mérite absolument mieux.
Mes conseils pour acheter malin
Cette stratégie optimise intelligemment ! Mon expérience révèle que quelques règles simples permettent d’obtenir la meilleure qualité au meilleur prix possible.
La commande groupée familiale mutualise qui négocie collectivement qui obtient des volumes qui réduit unitairement significativement avantageusement. Cette organisation collaborative partage une grosse poularde de 6 kg qui divise qui rentabilise qui satisfait mutuellement. Claire coordonne régulièrement avec sa sœur qui commande ensemble qui partage qui économise substantiellement qui bénéficie. Cette solidarité familiale optimise qui structure intelligemment qui pérennise qui ritualise agréablement les fêtes partagées généreusement.
La réservation anticipée fin octobre sécurise la disponibilité qui garantit la qualité qui évite la rupture qui rassure totalement. Cette discipline temporelle permet aux éleveurs de planifier qui d’optimiser qui de satisfaire qui de fidéliser durablement. Bernard apprécie particulièrement qui organise sereinement qui produit exactement qui livre ponctuellement impeccablement. Cette prévisibilité commerciale bénéficie mutuellement qui fluidifie qui simplifie qui améliore la relation qui enrichit humainement.
La visite préalable de la ferme rassure qui valide qui convainc qui justifie amplement le prix qui paraissait initialement élevé. Cette transparence totale démontre les conditions qui explique qui légitime qui fidélise définitivement les clients convaincus. Mon cousin insiste toujours pour visiter qui observe attentivement qui questionne systématiquement qui valide personnellement. Cette vérification directe sécurise qui tranquillise qui authentifie qui transforme l’achat en engagement qui soutient consciemment.
La négociation respectueuse avec le producteur obtient parfois des ajustements qui reconnaissent la fidélité qui récompensent loyalement. Cette discussion franche expose les contraintes qui propose des solutions qui accommode qui satisfait mutuellement équitablement. Bernard accepte occasionnellement des arrangements qui maintiennent la relation qui préservent l’équilibre qui pérennisent. Cette flexibilité humaine humanise qui différencie radicalement de la grande distribution qui standardise qui déshumanise qui frustre.
Ces stratégies simples transforment l’achat en optimisation qui maximise le rapport qui satisfait pleinement sans compromettre jamais la qualité.
L’avenir de cette tradition séculaire
Cette perspective interroge légitimement ! Mon observation révèle que plusieurs facteurs menacent ou soutiennent cette production qui persiste courageusement vaillamment.
La relève générationnelle préoccupe sérieusement qui questionne la perpétuation qui incertaine la transmission qui fragilise structurellement durablement. Cette problématique touche l’ensemble de l’aviculture traditionnelle qui peine à attirer qui décourage souvent qui désespère parfois. Bernard cherche désespérément un successeur qui reprendrait qui continuerait qui préserverait qui transmettrait fidèlement. Cette vulnérabilité humaine menace directement qui dépend entièrement qui conditionne absolument la survie qui s’éteindrait autrement définitivement.
La concurrence des volailles importées menace qui propose des prix qui déstabilisent qui tentent qui détournent progressivement. Cette compétition internationale ignore les normes françaises qui produit massivement qui inonde qui déséquilibre dangereusement. Claire constate régulièrement ces importations qui questionnent qui dénoncent qui alertent qui mobilisent les producteurs locaux. Cette pression commerciale fragilise qui nécessite protection qui justifie régulation qui défend l’agriculture nationale qui structure nos territoires.
Le regain d’intérêt pour l’authenticité porte néanmoins l’espoir qui valorise progressivement qui reconnaît enfin qui soutient concrètement. Cette évolution sociétale privilégie qualité et traçabilité qui recherche activement qui accepte progressivement qui assume pleinement. Mon cousin constate que les jeunes générations urbaines s’intéressent davantage qui questionnent systématiquement qui exigent qui paient. Cette mutation culturelle transforme le consommateur passif en acteur conscient qui choisit qui oriente qui influence qui restructure progressivement.
La reconnaissance patrimoniale pourrait valoriser qui protégerait qui pérenniserait qui garantirait la transmission qui assurerait l’avenir. Cette institutionnalisation légitimerait qui soutiendrait qui encadrerait qui défendrait qui préserverait ce savoir-faire séculaire. Bernard mobilise activement qui revendique fermement qui négocie constamment qui espère obtenir. Cette action collective porte les demandes qui unifie qui amplifie qui pèse qui influence qui transforme potentiellement. D’ailleurs, cette réflexion sur l’avenir rejoint celle que j’applique pour anticiper l’évolution de toutes mes productions fermières traditionnelles qui nécessitent également protection et valorisation.
Ces facteurs contradictoires transforment l’avenir incertain en équilibre fragile qui oscillera selon les dynamiques qui domineront finalement décisivement.
Mon avis personnel après cette expérience
Cette réflexion mûrit progressivement ! Mon expérience révèle que comprendre le prix d’une poularde nécessite d’intégrer toutes les dimensions qui dépassent largement la simple arithmétique.
Ma position d’éleveur me rend évidemment sensible aux conditions économiques qui permettent ou non de vivre dignement de ce métier exigeant. Cette empathie professionnelle comprend viscéralement les contraintes qui justifient amplement des prix qui rémunèrent correctement proportionnément. Bernard partage totalement qui défend systématiquement qui explique patiemment qui sensibilise inlassablement continuellement. Cette solidarité agricole transcende les productions qui unit horizontalement qui structure notre identité qui nous définit collectivement professionnellement.
La reconnaissance du savoir-faire nécessite acceptation que l’excellence coûte nécessairement qui ne s’obtient jamais gratuitement magiquement. Cette vérité économique heurte notre société qui veut tout pour rien qui refuse de payer qui exige la perfection à prix cassé. Claire a progressivement compris qui accepte désormais qui privilégie systématiquement qui assume pleinement consciemment. Cette maturité consumériste transforme l’acheteur inconscient en consommateur responsable qui réfléchit qui choisit qui soutient délibérément activement.
Le rapport qualité-prix me paraît globalement honnête qui équilibre correctement qui reflète fidèlement qui rémunère justement. Cette tarification transparente assume qui explique qui justifie qui convainc progressivement qui fidélise durablement. Mon expérience de 2013 m’a enseigné humblement que produire une poularde nécessite compétence qui mérite reconnaissance. Cette lucidité acquise respecte le travail des autres qui valorise qui soutient qui encourage qui pérennise l’activité.
La consommation occasionnelle me semble le compromis qui permet la célébration sans ruiner qui ritualise exceptionnellement dignement. Cette sobriété choisie privilégie la qualité rare sur la quantité banale qui structure différemment qui hiérarchise intelligemment. Claire organise annuellement qui planifie solennellement qui prépare rituellement qui partage généreusement familialmente. Cette ritualisation festive transforme l’achat en événement qui marque qui éduque qui transmet qui construit progressivement une culture familiale.
Cette réflexion personnelle transforme une simple question tarifaire en méditation sur ce qui compte vraiment dans notre rapport à l’alimentation.
Le prix d’une poularde fermière reflète fidèlement un élevage long et méticuleux qui nécessite expertise et patience qui justifie amplement l’investissement consenti pour célébrer dignement les fêtes traditionnelles ! Cette expertise acquise depuis 2013 qui enrichit ma compréhension qui structure mes choix qui guide mes conseils professionnels avisés.
Mon parcours d’éleveur m’a appris que ces productions d’exception incarnent des valeurs qui transcendent largement la simple dimension alimentaire nutritionnelle basique. N’hésitez pas à investir dans cette volaille prestigieuse qui récompensera généreusement qui honorera dignement qui soutiendra concrètement des producteurs qui méritent reconnaissance.
Comme pour tous les aspects de l’agriculture de qualité, qu’il s’agisse de valoriser les œufs fermiers ou de gérer une exploitation diversifiée, cette expertise transforme le consommateur passif en acteur responsable qui choisit consciemment qui influence qui construit progressivement le monde agricole qui nourrira dignement nos enfants demain !

Salut ! Moi c’est Émilien, 38 ans, et si on m’avait dit il y a 10 ans que je me leverais à 6h pour aller traire des chèvres, j’aurais bien rigolé !
Ancien informaticien à Lyon pendant 12 ans, j’ai tout quitté en 2018 avec ma femme Claire et nos deux enfants pour reprendre une ferme de 8 hectares en Auvergne. Pas par romantisme, enfin pas que, mais parce qu’on en avait marre du métro-boulot-dodo.
J’ai eu de la chance d’avoir grandi chez mes grands-parents agriculteurs dans le Cantal. Ça m’a donné les bases, même si j’avais tout oublié ! Aujourd’hui, je fais du maraîchage bio sur 2 hectares, j’élève 15 chèvres dont je transforme le lait, je m’occupe de 8 ruches et je rénove les bâtiments quand j’ai le temps.
Claire gère la partie transformation et la vente directe, moi je suis plutôt terrain. Les enfants adorent la vie ici, même s’ils râlent parfois quand il faut donner un coup de main !
Sur ce blog, je raconte ce que je vis au quotidien : mes techniques qui marchent, mes plantages mémorables (et il y en a !), les trucs que m’ont appris les anciens du coin. Pas de grands discours, juste du concret testé sur le terrain.
Parce qu’au final, on apprend tous ensemble, non ?




